Pourrais-tu te présenter ?

Je m’appelle Caroline Colombo, je suis originaire de Mouthe, j’ai 27 ans et je suis biathlète dans ‘équipe de France.

Qu’est ce qui t’a amené à être biathlète ?

Etant originaire de Mouthe, fief du ski de fond et village le plus froid de France, à l’école on fait directement du ski l’hiver.

Entouré d’une bande de copains, on était tous les mercredis et les samedis au ski club et j’ai été vite attirée par la compétition.

J’ai grimpé un peu tous les échelons du ski de fond et on m’a proposé de faire du biathlon. J’y ai très vite adhérer car j’aimais cette complémentarité ente le ski et le tir.

Concernant la saison (2022/2023) qui vient de s’écouler, dans quelle disposition physique et mentale tu l’as abordé ?

Je l’ai abordé avec une très bonne condition physique. J’ai une bonne préparation sur le ski à roulettes, je me sentais affutée pour en découdre dès les premières échéances. Au niveau mental, il y avait moins de confiance, car on se remet beaucoup en question en début de saison. Je savais qu’il y avait 7 filles et 6 allaient être retenue. Et je ne voulais pas être la 7^ème. J’ai réussi à performer en début de saison ce qui m’a donné la confiance pour la suite.

Quels objectifs tu t’étais fixée en termes de résultat, de technique ?

Je m’étais surtout fixé sur des objectifs de performances car si je m’attarde trop sur les résultats, c’est quelque chose qui est néfaste pour moi. Je voulais également entrer dans le top 15 car ça me permettrait de me motiver à aller m’entraîner et j’y suis parvenue par 3 fois. Je voulais aussi obtenir 85% de réussite au tir, mais je n’ai pas réussi à l’avoir cette année.

Comment as-tu fini cette saison ?

J’ai fini un peu fatigué car les étapes de la coupe du monde s’enchaînaient avec peu de pauses. Et une blessure à la cheville en fin de saison ne m’a pas empêchée de faire des performances sur les deux dernières étapes.

En dehors du biathlon, tu as d’autres occupations ?

Oui, je suis à l’école de management de Grenoble et je termine mon master cette année. C’est important pour moi, afin d’avoir la possibilité de me convertir en cas de grosses blessures. Je suis en parallèle entrée dans la police nationale et je suis contente d’avoir ce statut de professionnelle. C’est une activité qui va certainement m’aider au niveau sportif, car cette année la police va monter son équipe comme le font la gendarmerie et les douanes.

Concernant notre relation entre Mineral Blue et toi, peux tu nous dire comment nous nous sommes connus ?

On a été mis en contact grâce à Emily Harrop. Elle m’avait fait de belles louanges de vos produits et je me suis tournée vers vous aussi pour l’aspect santé car on est souvent perturbé au niveau immunitaire avec nos déplacement et les variations météorologiques.

Sachant que tu as mis plusieurs choses en place en parallèle de Mineral Blue, peux tu nous dire si tu as ressenti d’autres effets en dehors d’une meilleure immunité ? En l’occurrence sur la récupération et la performance ?

En effet, cette saison, j’ai mis plusieurs choses en place donc dissocié Mineral Blue du reste est difficile. Mais la saison a été tellement bonne au niveau de ma santé et de mon énergie qu’il est certain que Mineral Blue a un impact là-dessus.

As-tu fixée des objectifs pour la saison prochaine ?

Oui tout à fait ! J’aimerais faire aussi bien que cette année et monter sur le podium car je pense que j’en ai les capacités. J’ai toujours mon objectif de 85% au tir.

Merci beaucoup Caroline pour ce partage d’expérience.